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Tribune d'expression des groupes politiques de la Région Nouvelle-Aquitaine

Notre amendement visant à mettre en place des conventions de dettes avec les collectivités refusé !

Lors du débat sur le plan de financement du Grand Projet du Sud-Ouest, le groupe Centre et Indépendants a défendu la mise en place de conventions de dettes entre la région et les collectivités. 

Jean Dionis Du Séjour a rappelé la nécessité du principe de solidarité territoriale en ce qui concerne le financement de ce projet ferroviaire.


Retrouvez l’intégralité de l’intervention de Jean Dionis Du Séjour (seul le prononcé fait foi) :

Notre amendement pour la création d’un campus des métiers de la mer adopté !

Lors du débat sur la feuille de route des industries nautiques et navales, Daniel Dartigolles a défendu la création d’un nouveau campus des métiers de la mer. 

Ce campus a pour objectif de préparer la filière nautique et navale aux transformations de demain. Cet amendement a été adopté !


Retrouvez l’intégralité de l’intervention de Daniel DARTIGOLLES (seul le prononcé fait foi) :

« Le tourisme est un atout de notre région ! »

Lors du débat sur la feuille de route pour un tourisme durable, Fabien Robert a salué le soutien apporté à la filière. 

Le président du groupe Centre et Indépendant a tout de même souhaité souligner le manque d’ambition de la feuille de route sur certains points comme la cohabitation population/touristes.


Retrouvez l’intégralité de l’intervention de Fabien Robert (seul le prononcé fait foi) :

« Les thermes ont souffert de l’absence de curistes. »

Lors du débat sur le plan thermal 2023-2028, Christian Devèze a salué la démarche de l’exécutif concernant l’élaboration de cette nouvelle stratégie.  

En tant que maire de Cambo-les-Bains (64), Christian Devèze se devait de rappeler les difficultés que pouvaient rencontrer les professionnels du secteur.


Retrouvez l’intégralité de l’intervention de Christian Devèze (seul le prononcé fait foi) :

« La prévention santé est le cœur du thermalisme »

Lors du débat sur le plan thermal 2023-2028, a rappelé le rôle essentiel du thermalisme en tant que solution complète de prévention santé. 

Aussi, l’élue landaise a interpellé l’exécutif sur le manque d’actions à destination des acteurs du secteur médical.


Retrouvez l’intégralité de l’intervention de Pascale Requenna (seul le prononcé fait foi) :

« Il est urgent de sortir du cadre de la violence ! »

En guise de propos introductif à la séance plénière, Fabien Robert est intervenu pour dénoncer la violence verbale et physique de plus en plus présente dans l’espace public. 

Le Président du groupe Centre et Indépendants a également réaffirmé la volonté du groupe Centre et Indépendants de bâtir une véritable politique publique de l’eau réunissant tous les acteurs.


Retrouvez l’intégralité de l’intervention de Fabien ROBERT (seul le prononcé fait foi) :

« La mise à l’abri des volailles vient en complément de mesures de biosécurité qui garantissent le bien-être animal et la qualité des produits ! »

Lors du débat sur la motion du groupe Communiste, Ecologique et citoyen, Pascale Requenna a dénoncé des amalgames peu responsable concernant le projet de révision des normes de commercialisations européennes des volailles de chair.

L’élue landaise en a profité pour rappelé les conditions de ces mise à l’abri sanitaire et le travail des éleveurs pour assurer le bien-être animal.


Retrouvez l’intégralité de l’intervention de Pascale Requenna (seul le prononcé fait foi) :

Monsieur le Président, mes chers collègues,

Si la Commission européenne a effectivement évoqué un projet de décision de modification des normes européennes de commercialisation des volailles, il n’en est aucunement de suppression de label. Nous y sommes extrêmement attachés, mon cher collègue. Néanmoins dans cette motion, il y a un mélange des genres certain. Il y a des amalgames qui sont peu responsables, voire coupables. La mise à l’abri sanitaire qui vient en complément de mesures de biosécurité qui ont été mises en œuvre dans de nombreuses exploitations, cette mise à l’abri sanitaire se fait dans des conditions de diminution des effectifs pour garantir à la fois le bien-être animal et à la fois la qualité des produits.
D’ailleurs, de nombreux éleveurs, après les normes de biosécurité, ont aussi pris des mesures de mise aux normes des bâtiments pour réussir cette mise à l’abri avec notamment des pailleuses ou des chaînes d’alimentation. Donc vous faites un mélange des genres, un amalgame peu responsable. Nous voterons contre cette motion

« L’action de Cap métiers doit se recentrer sur le présentiel et la rencontre avec les publics partout en Nouvelle-Aquitaine »

Lors du débat sur la Convention pluriannuelle d’objectifs et de moyens 2023-2025 avec Cap Métiers Nouvelle-Aquitaine, Elodie Bourrel a souligné l’importance d’une telle structure mais a regretté le manque d’actions en faveur des territoires. 

L’élue landaise en a profité pour souligné le manque d’ambition de cette convention en ce qui concerne l’évaluation des dispositifs.


Retrouvez l’intégralité de l’intervention d’Elodie Bourrel (seul le prononcé fait foi) :

Cher Président, mes chers collègues,

Je tiens au nom du groupe Centre Indépendants à saluer l’existence de l’AROFE dont les missions d’information et d’accompagnement sont essentielles. Force est de constater que la plateforme Rafael tient ses promesses et constitue une source ô combien utile pour les actifs en recherche d’orientation. Après lecture de cette nouvelle convention, un article nous interpelle tout particulièrement : celui du suivi et de l’évaluation. C’est l’occasion pour nous de rappeler, Monsieur le Président, notre attachement à la culture de l’évaluation et notre souhait de voir se développer davantage cette pratique pour les dispositifs emploi et formation. Nous nous réjouissons donc de la place qu’elle occupe dans cette délibération.

Néanmoins, il y a certains points sur lesquels nous aimerions revenir. L’évaluation dont il est question dans cette convention prend en compte une majorité de données quantifiables telles que le nombre de personnes informées, de contrats proposés, de candidats, etc. Ces informations, aussi pertinentes soient-elles, ne sont pas suffisantes pour évaluer le plus justement possible la réalisation des objectifs. Nous nous étonnons de l’absence de deux indicateurs non négligeables : le taux de satisfaction des usagers et le nombre de formations effectuées par les personnes passées par l’AROFE.

Tout cela est un peu trop généraliste.
En réalité, c’est en discutant avec les concernés, en recueillant leur ressenti au sein du focus groupe que l’on peut juger de la pertinence des dispositifs. C’est d’ailleurs eux qui seront les plus à même par la suite, de faire des recommandations et ainsi, d’améliorer le programme. Sans ces données des plus essentielles, Cap Métiers ne sera pas en mesure d’adapter son offre et de rendre plus performants encore ses outils.
Enfin, une autre donnée importante n’apparaît pas : le taux de transformation. Ce dernier détermine le taux de personnes ayant accédé à une formation après avoir utilisé l’un des outils ou après avoir été conseillées par Cap Métiers. Il s’agit pourtant probablement de l’indicateur le plus révélateur des effets de cette politique régionale en faveur de l’accès à la formation. La mise en place en septembre de HUB AGORA est à notre sens l’occasion de
déterminer le nombre de personnes qui vont au bout du dispositif et qui accèdent à une
formation.
Enfin, nous n’allons pas insister davantage sur la nécessité d’une évaluation transparente
puisque mon collègue Daniel d’ARTIGOLLES s’est déjà chargé, dans un courrier en date du
3 février, d’interroger Madame la Vice-présidente sur l’accès aux résultats des évaluations
pour les membres de la Commission.
En somme, cette convention manque un peu d’ambition. Les chiffres sont connus :  700 personnes accueillies individuellement et annuellement. Très bien. Mais pour cette nouvelle convention, il faut voir plus haut. La Région doit désormais se doter d’un processus d’évaluation à la hauteur des enjeux actuels concernant la formation et l’orientation. Par ailleurs, si les différents outils dématérialisés mis en place par l’AROFE semblent opérationnels, nous ne devons pas pour autant oublier l’offre en présentiel. Certaines personnes ne disposent pas d’un accès à internet ou rencontrent des difficultés pour l’utiliser. Comme le préconise France Travail, il faut aller vers les publics isolés au cœur de nos territoires. Le Cap Métiers Tour gagnerait à se développer davantage. Vous ne le mentionnez que très peu dans cette convention, mais cet outil itinérant est précieux. En plus de le développer, vous devez accentuer la communication et la promotion au sein des structures partenaires. Un maximum de communes doit être concerné, en particulier celles les plus éloignées des grandes villes et qui ne disposent pas de structures à proximité. Nul doute que si l’évaluation s’intéressait au taux de satisfaction des concernés comme nous le demandons, elle aurait révélé l’impact positif que les événements en présentiel ont sur eux. Qui préfère découvrir des métiers derrière un écran ? L’action de Cap Métiers doit se recentrer sur le présentiel et la rencontre avec les publics partout en Nouvelle-Aquitaine.
Nous regrettons que cette prise en compte des territoires via l’organisation d’événements ne soit pas le cœur de cette délibération et de cette convention.

« La question de la légitimité démocratique et de la participation doit être au cœur de nos préoccupations ! »

Lors du débat sur la Convention cadre pluriannuelle avec les Centres Europe Direct et les Maisons de lEurope labellisées de Nouvelle-Aquitaine, Daniel Dartigolles a interpellé l’exécutif sur la nécessité d’informer au mieux les jeunes à un an des élections européennes. 

Notre groupe se réjouit de l’augmentation du budget en faveur de ces structures sur l’Europe mais regrette le manque d’ambition concernant les actions menées pour faire connaître l’UE.


Retrouvez l’intégralité de l’intervention de Daniel Dartigolles (seul le prononcé fait foi) :

Monsieur le Président, chers collègues,

En cette période troublée où les fondements européens sont fragilisés par la montée des populismes, par la guerre sur les territoires ukrainiens, porter l’information sur l’Union européenne auprès des lycéens, des jeunes accompagnés par les missions locales, mais aussi par les écoles de la deuxième chance, les EPID et le service militaire volontaire, qui ne sont pas mentionnés dans cette délibération, est essentiel.

C’est la raison pour laquelle nous voterons cette délibération qui va dans la bonne direction afin de promouvoir l’action de l’Union européenne auprès des Néo-Aquitains.
À saluer également l’augmentation substantielle de 90 000 € dédiée à cette convention pluriannuelle et l’extension de ce soutien financier pluriannuel non plus au seul centre européen direct mais aussi aux Maisons de l’Europe, tout en prenant en compte ce que vient de dire la collègue sur l’évaluation de ces mêmes fonds.
Après ces points positifs, la question du maillage de ces structures de valorisation de l’Europe reste néanmoins toujours présente. En l’espèce, je ne vois aucune structure en Charente-Maritime avec laquelle la Région conventionne. Peut-être pourrions-nous être plus proactifs quant à la création de ces structures qui portent l’idéal européen au sein des territoires non encore pourvus.
Il y a aussi pour nous deux autres priorités d’implantation de ces structures. Les zones de revitalisation rurale et les quartiers prioritaires de la ville, comme par exemple la Maison de l’Europe des Landes située, non pas à Dax ou à Mont-de-Marsan, mais à Pontonx-sur-l’Adour, où les jeunes ruraux s’acculturent sur les missions et aides européennes, comme par exemple Erasmus Plus. Par ailleurs, dans les priorités régionales fixées dans la nouvelle convention est mentionnée la sensibilisation au sujet d’actualité européenne.

En 2024 il y aura des échéances électorales importantes pour l’Union européenne. La question de la légitimité démocratique en général et la participation en particulier doivent être au cœur de nos préoccupations. Je rappelle que 50,12 % de participation en 2019 en France pour les dernières élections européennes, c’est moins que la moyenne dans l’Union européenne. Les Maisons de l’Europe et Centres Europe Direct seront en première ligne pour contribuer au défi de relever la participation citoyenne. Car l’Europe, nous le voyons tous les jours à la Région, est au cœur de nos préoccupations. Nous devons, en tant que collectivité, via ce soutien pluriannuel, être pleinement mobilisés pour ces futures échéances.
Enfin, l’instance participative des jeunes est un outil à actionner, car parler d’Europe, c’est aborder tous les défis auxquels notre jeunesse est et sera désormais confrontée. L’idée n’étant pas de transformer cette instance en mini-Parlement européen, il y a des initiatives en ce sens, mais d’insister sur cette ambition de parler d’Europe dans cette nouvelle assemblée jeune.

Voilà pour ces quelques éléments de réflexion. Merci pour votre écoute

Notre amendement visant à améliorer le dialogue entre la région et les collectivités adopté !

Lors du débat sur la feuille de route santé, Fabien Robert a défendu notre amendement visant à instaurer un dialogue fréquent entre la région et les autres collectivités via la Conférence Territoriale de l’Action Publique. 

Le Président du groupe Centre et Indépendants a rappelé la nécessité pour la région de travailler avec les autres collectivités locales sur un volet aussi important que la santé. Cet amendement a été adopté !


Retrouvez l’intégralité de l’intervention de Fabien ROBERT (seul le prononcé fait foi) :

Nous vous proposons que sur la gouvernance, comme on l’a exprimé, la Région travaille plus étroitement avec les collectivités locales et nous pensons que la CTAP est le bon outil pour cela. À condition qu’elle soit suivie, régulière et organisée. J’ai connu des CTAP dans d’autres domaines, qui avaient un effet aussi porteur que ce qu’on a dit tout à l’heure sur les câlins aux arbres. Donc j’aimerais vraiment que ce soit un outil qui fonctionne, que ce soit une gouvernance organisée, déclinée territorialement. En tout cas pour nous, prendre le temps d’échanger avec les collectivités sur ce sujet avec les EPCI qui vont générer des projets, notamment à l’exemple des maisons de santé. Pour nous tout ça, c’est fondamental. Voilà pourquoi, en 37 secondes, nous vous proposons cet amendement