Lors de la dernière séance plénière des 13 et 14 octobre, Christian Devèze est intervenu sur le thème des orientations budgétaires 2026 de la Région Nouvelle-Aquitaine.

Il a notamment évoqué les points suivants :

• Une trajectoire financière alarmante, marquée par un mur de la dette qui se rapproche inexorablement : près de 4 milliards d’euros attendus en 2028, contre 2 milliards en 2018.

• Des charges financières en explosion : plus de 300 millions d’euros par an consacrés dès 2029 au remboursement du capital et des intérêts.

• Un investissement régional en chute libre, passant de près d’un milliard d’euros à 691 millions en 2025.

• La création d’un nouvel impôt, le versement mobilité régional et rural, représentant une nouvelle charge de 62 millions d’euros pour les entreprises.

• Un appel à une révision en profondeur du modèle régional et à un travail collectif pour enrayer cette dérive financière.

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Lors de la séance plénière du 13 octobre, Fabien Robert a ouvert les débats en alertant sur la situation financière préoccupante de la Région Nouvelle-Aquitaine.

En dix ans, la dette régionale aura doublé, passant de 2 milliards d’euros en 2018 à 4 milliards d’euros en 2028. Cette trajectoire est insoutenable. Les charges d’intérêts passeront de 69 millions d’euros en 2024 à près de 100 millions en 2029, tandis que le remboursement du capital atteindra plus de 200 millions d’euros.

➡️ Cela signifie que près de 300 millions d’euros par an seront immobilisés pour rembourser la dette plutôt que pour investir dans les lycées, les transports ou l’économie régionale.

Fabien Robert a rappelé que la dette d’aujourd’hui est l’impôt de demain, et qu’il serait irresponsable de laisser aux jeunes Néo-Aquitains le poids d’une gestion sans stratégie de désendettement.

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Lors de la dernière séance plénière des 13 et 14 octobre, Laurence Farreng est intervenue sur le thème du rapport annuel Néo Terra, feuille de route environnementale de la Région Nouvelle-Aquitaine.

Elle a notamment évoqué les points suivants :

• Un recul inquiétant des ambitions climatiques, alors que les effets du dérèglement sont déjà visibles en Nouvelle-Aquitaine : sécheresses, incendies, viticulture bouleversée.

• Des résultats encourageants mais insuffisants : plus d’1,24 milliard d’euros votés en 2024 et 10 616 projets soutenus, mais un manque d’outils de suivi et de transparence.

• Des signaux d’alerte : baisse du nombre d’exploitations bio, stagnation du bio dans les lycées (22 % pour un objectif de 30 % en 2025) et baisse prévue des crédits dédiés à la transition écologique.

• Un appel à la cohérence et à la persévérance, pour que Néo Terra soit une boussole, pas une vitrine.

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Lors de la dernière séance plénière des 13 et 14 octobre, Pascale Requenna est intervenue sur le thème des orientations budgétaires 2026.

Elle a notamment évoqué les points suivants :

• Trajectoire financière de la Région jugée inquiétante, avec un endettement en forte hausse.

• Nouvelles contraintes pour les entreprises : création d’un versement transport régional et d’une “responsabilité territoriale” imposée.

• Entreprises fragilisées : défaillances record et chômage en hausse.

• Agriculture en crise : perte d’un milliard d’euros de valeur ajoutée, viticulture et bio en difficulté, aucune réponse concrète.

• Tourisme oublié : aucun objectif malgré 142 000 emplois et une baisse d’un million de nuitées en 2024.

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Retrouvez le courrier rédigé par Christelle Lapouge au Vice-président à l’éducation et à la jeunesse, pour faire de nos lycées de véritables « maisons du savoir ».

Courrier CL – Maisons du savoir (lycées)